Barykin Viktor Nikolaïevitch est né en 1947 en Biélorussie, dans le village de Govezna, region de Stolbtsy. Il a passé la majeure partie de sa jeunesse avec ses parents, son frère et ses trois sœurs dans le village de Berezha, region de Dzerjinsk.
Il a terminé ses études secondaires avec mention excellent dans la ville de Fanipol, region de Dzerjinsk. Il a ensuite poursuivi ses études à l’Université d’État de Biélorussie à Minsk, où le concours d’entrée comptait 13 candidats par place.
En 1969, il a obtenu un diplôme de spécialiste en physique nucléaire théorique, avec le droit d’enseigner la physique dans les écoles secondaires.
Après l’université, il a consacré quatre ans à des activités publiques. Il a d’abord travaillé comme chef du département d’organisation, puis comme deuxième secrétaire du comité de Komsomol à Dzerjinsk. Pendant un an, il a également enseigné la physique dans une école secondaire à Fanipol. Tout au long de cette période, il s’est consacré à sa famille, en portant une attention particulière à sa fille Olga et à son fils Oleg. Son épouse, Tamara, enseignait l’anglais et le français. Cette harmonie familiale lui a permis, durant ses recherches scientifiques personnelles, d’aborder d’une manière nouvelle la théorie de la relativité et de généraliser partiellement l’électrodynamique de Maxwell.
Ses camarades d’université travaillaient tous à l’Académie des sciences de la République de Biélorussie, et l’ont progressivement entraîné dans la vie scientifique. Il a commencé avec des fonctions scientifiques de base à l’Institut de transfert de chaleur et de masse. Cette activité était à la fois diversifiée et très intense.
Il a eu la chance de travailler dans des conditions particulièrement favorables au sein du laboratoire de transfert d’énergie, dirigé par son mentor, l’académicien O.G. Martynenko. Celui-ci l’encourageait non seulement à exécuter des contrats de recherche, mais aussi à s’impliquer activement dans des travaux fondamentaux par le biais de discussions et de participations à des conférences et des écoles scientifiques. C’est lui qui lui a dit un jour : « Tu souhaites créer une théorie des atomes de lumière et de gravitation ? Vas-y ! »
Pour y parvenir, il était nécessaire de généraliser la théorie de l’espace-temps et de comprendre la place des objets structuraux dans les modèles de calcul des sciences naturelles. Il a pu réaliser quelques avancées en la matière, publiées dans les travaux de l’Institut sous forme de prépublications, d’articles et de livres. Les résultats de ses recherches ont été présentés lors de deux conférences internationales sur la théorie du temps et de l’espace à Leningrad.
Il a également effectué un stage à l’Institut de physique Lebedev de l’Académie des sciences de Russie (FIAN). Ses échanges avec le futur lauréat du prix Nobel V.L. Ginzburg et ses élèves, les docteurs A.N. Stolyarov et B.M. Bolotovski, ont enrichi et corrigé son travail scientifique. D’autres discussions personnelles avec le génial D.D. Ivanenko, l’un des premiers à avoir prédit l’existence du neutron, ainsi qu’avec N.Kh. Ibraimov, spécialiste des équations différentielles, ont également stimulé sa réflexion.
En 2001, il a publié un manuel pédagogique pour les étudiants des établissements d’enseignement supérieur intitulé « L’atome de lumière », imprimé par la maison d’édition Belpoligraf de l’administration présidentielle de la République de Biélorussie.
En 2005, il a publié son livre « L’électrodynamique de Maxwell sans la relativité d’Einstein » à Moscou (Éditions Editorial URSS).
La même année, il a été invité par la Société de physique d’Allemagne à participer aux célébrations du 100e anniversaire des travaux d’Einstein sur la théorie de la relativité et l’effet photoélectrique, et a pris part aux discussions à Berlin.
De 2005 à 2020, il a poursuivi ses travaux pour élaborer des modèles de mathématiques non-associatives. Bien qu’il ait publié plusieurs essais sur le sujet, il n’a pas obtenu de résultats approfondis et définitifs à cette époque.
Entre 2020 et 2025, il a publié 13 monographies consacrées aux ensembles d’objets. Dans ces travaux, des matrices de différentes dimensions et à structure complexe forment des ensembles finis fermés selon un spectre d’opérations associatives et partiellement associatives. Leurs propriétés fonctionnelles sont non seulement uniques, mais inaccessibles aux modèles classiques ou hypercomplexes. Ces modèles peuvent être appliqués à la modélisation du vivant, en associant les interactions physiologiques et informationnelles. Ces nouveaux ensembles ont été nommés « jardins » et prolongent les méthodes des champs.
Il a également défini leur place dans les modèles de calcul des sciences naturelles.